À Toulon, loin des plages fréquentées et des parties touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le cerveau, vivait une féminité que l’on aspirait normalement Liora. On disait d’elle qu’elle savait lire le destin non dans les cartes, ni dans les oracles, mais dans les fragments https://knoxwpcmu.dbblog.net/7539032/le-feu-des-contours