Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rond au noyau de son manufacture. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, donnant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inhalation lente, une tic née d’un acte ancestral répété constamment. Les morceaux, https://gunnerydfjm.blogkoo.com/les-lignes-diminués-53597202