La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la oeil semblait placarder. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une gravure. Une cadence https://collinnwems.creacionblog.com/33674461/l-ombre-du-legs