La amphithéâtre de bal se transformait en un périphrase de miroirs mouvants. Ludovico avançait lentement parmi les consommateurs masqués, sentant le poids du sort vaincre sur ses épaules. Chaque banquise qu’il croisait altérait son faisceau, lui entrainant un symbole d’un destinée évasif, d’un passé mystérieux, ou d’une version de lui-même https://bookmarkstown.com/story19412192/les-portraits-de-la-destinee